Je veux manger ton pancréas Yoru Sumino et Izumi Kirihara

Résumé

Sakura est une lycéenne à la personnalité solaire, toujours entourée d’amis et au centre de l’attention de la classe. Elle est aux antipodes de Haruki, un simple élève banal et transparent. Celui-ci préfère fuir son prochain pour se réfugier dans ses livres de fiction jusqu’au jour où il trouve un journal intime, celui de Sakura. Il découvre alors que cette camarade si pleine de vie souffre d’une infection du pancréas et que ses jours sont comptés… Unis à Haruki par ce secret, Sakura demande une faveur au garçon : vivre avec elle une vie entière le temps d’un printemps…

Ma note

4.5/5

Un hors saison pour commencer

En réalité, j’ouvre les mangas du samedi avec un hors-saison. En effet, cette duologie qu’est Je veux manger ton pancréas correspond bien plus au printemps. Avec les fleurs de cerisier, que rappelle le prénom du personnage principal féminin, Sakura. D’autant plus que je l’ai lu… en octobre. Bref, je vous dis, aucune logique dans la publication du jour autre que : j’ai vraiment beaucoup aimé ce manga ! 

"J’ai décidé de ne pas en vouloir au destin qui m’a rendu malade, c’est pour ça que ce journal ne raconte pas ma lutte contre la maladie, mais plutôt ma cohabitation avec elle."

Un rayon de soleil estival

Je crois que ce que j’ai le plus aimé dans cette histoire, c’est la nature solaire de Sakura. Elle rayonne, alors qu’elle pourrait décider de s’apitoyer sur son sort. Mais non. Elle va permettre à Haruki de s’épanouir à son contact. Cela dit, j’avoue que je commence à le confondre avec 300 jours avec toi, qui est clairement dans la même veine. J’aime ce genre de récits, c’est une évidence. Mais je pense que le deuxième m’a bien plus marqué. 

Une duologie qui fait du bien

Je veux manger ton pancréas est une jolie duologie qui nous propose de croquer la vie à pleines dents. Si le plot n’est pas extraordinaire, j’ai adoré le déroulement de l’histoire. Deux êtres aux antipodes, deux lycéens qui n’ont rien a voir… Et qui pourtant vont se faire beaucoup de bien. C’est une belle histoire d’amitié, ainsi qu’un récit touchant sur le deuil.

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