Je dois avouer que je suis moins emballée par la deuxième, parce que c’était de trop en terme de conclusion. J’ai vraiment beaucoup aimé le début ! On reste dans les relations familiales, avec au centre cette fois-ci la sororité Evie-Ruth. Elles sont comme le jour et la nuit, et j’ai vraiment apprécié de voir ce duo évoluer sans hommes autour pour les gêner. Les enfants et la magie de Noël autour d’eux est une vraie thématique ici également. On reste dans du Lucy Diamond assez classique. J’ai d’ailleurs beaucoup pensé à Debbie Macomber en lisant ce texte. Mais je dois admettre que la fin, que j’ai vu venir à des kilomètres, m’a fait lever les yeux au ciel. Je crois que le schéma anglo-saxon très classique me parle beaucoup moins que le français, en fait ! C’est donc le moment où je vous conseille d’avantage la « quadrilogie » de La vie est belle et drôle à la fois de Clarisse Sabard. Mais c’est évidemment personnel !

Globalement, j’ai apprécié Le noël au Café du Bonheur aux côtés d’Evie, de Ruth, des trois enfants et de Bella. Je l’ai trouvé doux et cohérent. Le plus beau des cadeaux m’a par contre un peu dérangé au niveau de sa conclusion. Mais j’ai aimé le cheminement et là aussi la relation des deux sœurs qui se développent au fil des pages. Je serai curieuse de voir s’il y a un tome 3, du coup, ce que semble annoncer l’autrice, finalement !

Cette chronique a initialement été publiée sur mon ancien blog.