Il y a évidemment aussi du moins bon, ce qui est logique dans un recueil. Certaines nouvelles faisaient très « pitchs » de romans, comme si c’était un résumé génial. Du coup on en veut forcément plus, comme celle de Sophie Henrionnet. Celle d’Adèle Bréau, au contraire, m’a semblé longue. Elles n’en sont pas mauvaises, loin de là ! Il y a même ce côté femme célibataire de 40 ans qui s’assume qui est très frais, ça fait beaucoup de bien de lire ça ! Surtout quand on passe à celle d’Isabelle Alexis par la suite… qui fait grincer des dents. Plus j’y repense, et plus je m’insurge. Même si je comprenais le mal-être du personnage, j’ai trouvé le résultat bien trop exagéré et presque blessant. Comme si on ne pouvait être belle uniquement grâce à l’argent. C’est vraiment dommage.

Même si cette année mon avis est plus mitigé sur ce recueil, j’ai tout de même passé un excellent moment avec celles de Tonie Behar et de Marie Vareille. Et mine de rien, on a toujours cette ambiance de Noël au coin du feu. Celle qui donne envie de marrons chauds et de chocolat. Une nouvelle fait particulièrement mal à l’égo malheureusement, et baisse la qualité de l’ensemble, c’est dommage.

Cette chronique de Noël Actually a été initialement publiée sur mon ancien blog.