Esther et Isabel

Résumé

Terrible dilemme au château : alors que les fantômes veulent éviter qu’Amalrik, le fils d’Ulrik, ne rencontre Samuel et ne dévoile par mégarde sa présence à Sortiarie, la sorcière a juré de revenir tourmenter l’enfant jusqu’à ce que lui soit révélée la vérité. Qui doivent protéger les descendants : leur sauveur ou le petit innocent ?
Le pauvre musicien n’est pas au bout de ses peines ! Certain qu’exhumer le passé du vieux Viking brisera la malédiction, il ouvre la porte d’Esther, à l’époque où elle gagnait sa vie comme bonne, puis celle de Jonas, le tueur en série, au moment même où celui-ci hante les rues de Londres en quête d’une prochaine victime !

Ma note

4.5/5

Coup de coeur pour Rose

Cela fait maintenant deux semaines que je vous parle de la saga des Dragensblöt, à travers le tome 1, le tome 2 et le tome 3. Quel plaisir à chaque fois de retourner dans le château hanté de Samuel et ses ancêtres ! C’est un peu étrange, dis comme cela, mais c’est pourtant vrai. J’aime toujours autant les personnages, Samuel me touche beaucoup. Et le fait que la petite Rose soit d’avantage présente m’a beaucoup plu. C’est un personnage que j’aime beaucoup.

« Et moi qui ai osé penser que ma vie présente avait été difficile… »

Un tome très prenant...

En parallele de l’histoire de Samuel au château, il y a tout un récit dans la vie réelle. Elle me rendait si curieuse que j’étais à deux doigts d’acheter la version québécoise déjà parue ! Finalement, j’ai attendu sa sortie VF en papier et je l’ai acheté. Cela démontre à quel point le récit est addictif. L’écriture est d’ailleurs moins juvénile cette fois-ci, cela m’a fait plaisir ! Et comme l’indique le titre, nous ouvrons les portes de Esther et Isabel, deux personnages que j’aime beaucoup.

...Et plus sérieux

Ce quatrième tome se démarque un peu des autres. Il nous remémore qu’il serait peut-être temps d’arrêter de dire que c’était mieux avant, dans le passé. Comme si cela nous donnait une raison de nous plaindre de nos existences confortables, mais sans rien entreprendre ou se remettre en question. J’ai aimé ce parti-pris qu’Anne Robillard peut explorer librement. En effet, grâce au voyage dans le temps, elle souligne les difficultés liées à chaque époque. Bref, j’aime toujours autant !

Cette chronique de Esther et Isabel a initialement été publié sur mon ancien blog.

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