De prime abord, on dirait que ce tome 4 entre dans la catégorie Hiver, plutôt qu’été, je vous l’accorde. Bon, je n’aurai jamais tenu quasiment un an pour le lire, déjà. Mais en plus, les choses sérieuses débutent en été, à la plage ! Le fait de le lire en ce moment est donc parfaitement approprié, malgré les apparences. L’entrée de journal au début du tome est d’ailleurs notée comme étant le 10 août. Ce qui est dingue lorsque j’ouvre un tome de Heartstopper, c’est que je le commence toujours avec un énorme sourire aux lèvres de retrouver ces personnages. Je les adore ! Mais là j’ai même été un peu émue parce que je savais que j’arrivais au dernier tome. Il y a bien 4 tomes hors-séries, mais officiellement le tome 5, le suivant donc, doit conclure la saga et ça me fait un pincement au coeur malgré tout. 

Je me suis énormément attachée à Charlie et Nick, ainsi qu’à tous leurs ami.e.s et aux membres de leurs familles. Mais ce couple me fait pleurer à chaque fois ! C’est insupportable tant je les aime. Impossible de ne pas avoir de coup de coeur pour ce duo qui fait fondre mon palpitant ! Mais dans Heartstopper tout n’est pas rose bonbon, même si c’est beau. Et Alice Oseman arrive à mettre les mots justes sur des problématiques adolescentes. A quel point elles peuvent être lourdes à porter et à quel point, parfois, cette responsabilité est écrasante. Je crois bien avoir pleuré le 3/4 du tome. Et le titre lui va bien. Les choses sont, en effet, sérieuses. L’amour ne sauve pas de tout. Et ne règle pas tout. Et c’est une excellente raison de lire cette saga. Vivement que je puisse découvrir le tome 5 !