49 jours je compterai pour toi CS Quill

Résumé

Quand l’amour se vit en 49 jours…
1… 2… 3…
Chaque matin, depuis qu’elle a rencontré Sawyer Hall, Breen inscrit un nouveau chiffre dans sa paume. Le compte à rebours est lancé, comme la fuite inéluctable du temps qu’elle voudrait pourtant maîtriser.
15… 16… 17…
Breen souhaiterait pouvoir retenir les jours qui filent pour profiter des sentiments qui refont enfin surface. Mais elle le sait, son coeur ne cesse jamais de compter.
47… 48… 49…
Alors qu’elle ne sait pas aimer plus de 49 jours, Sawyer sera-t-il celui qui libérera son coeur ?

Ma note

4.5/5

La mélancolie des jours heureux

Cela faisait très longtemps que ce roman était dans ma wish-list. Et finalement, en février, j’ai craqué et je l’ai acheté. Il m’aura fallu quelques mois et un voyage en avion où un roman poche était de mise pour le sortir de ma PAL. Et dés le début, malgré la fatigue d’un vol tardif, j’ai été très intriguée. De C. S. Quill, je n’ai que lu les Campus Drivers, dont le tome 4 vient de sortir et que j’attends avec grande impatience. Très drôle, je ne m’attendais pas à découvrir avec 49 jours une histoire aussi mélancolique. Changement total de registre, qui n’était pas pour me déplaire ! 

"Dès que je prends une photo, j'arrête le temps. Je capture le moment pour que personne ne l'oublie. Jamais."

Des personnages complets

Breen est une jeune femme qui m’a touché. On la sent à la fois fragile et pleine de fougue. Il est rare de voir des personnages aussi ambivalents, qui donnent le change tout en se sentant dériver. J’ai beaucoup aimé cela chez elle. Elle n’est en rien lisse. Mais je l’ai aussi sentie distante, et je ne comprenais pas pourquoi. Au fil des pages, elle va se livrer. Le compte à rebours commence pour Sawyer mais aussi pour son passé que nous découvrons au compte-goutte. Je ne m’attendais d’ailleurs pas du tout au final ! Tout au long, le suspens est maintenu et j’avais très envie d’en savoir plus. Et une chose est sûre, au terme des 49  jours, c’est une déflagration. J’ai eu envie de reprendre du début pour tout saisir ! Et pour savourer Sawyer un petit peu plus, j’admets.

Une surprise cachée

Tout au long du roman, je naviguais à vue, sans savoir où j’allais. Puis tout à coup, la lumière. Eblouissante ! Je ne lis plus tellement de romans de chez Hugo New Romance, donc je ne suis pas experte en la matière. Mais j’ai tout de même trouvé que celui-ci était un petit OVNI caché du catalogue. Je n’en ai pas lu d’autre de ce type chez eux, et ça fait du bien ! La French Team de la maison d’édition maintient la barre très haute. Souvent même trop haute pour les autrices américaines, selon mes goûts. Je me questionne tout de même sur le non-coup de cœur, et je pense que la résolution à pris un brin trop de temps pour moi. Cela reste néanmoins une belle lecture surprenante que je ferai dédicacer en novembre au Festival New Romance

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