Layla partie en Urbex dans un hôtel abandonné. C'est de circonstance.

Résumé

Lorsque Leeds rencontre Layla, il est sûr que c’est la femme de sa vie. Leur amour est profond, l’alchimie parfaite entre eux. Ils s’aiment tout simplement, mais leur relation est menacée par un terrible accident qui conduit Layla à l’hôpital pour un long séjour.
Lorsqu’elle en sort, Leeds lui propose de retourner dans le Bed&Breakfast où ils se sont rencontrés, pour sa période de convalescence. L’atmosphère paisible sera parfaite pour la jeune femme encore fragile et cela leur permettra de se rapprocher à nouveau.
Car Layla est différente de celle qu’il a connue. Est-elle encore affectée par l’accident ? A-t-elle définitivement changé ?
Et puis, il y a Willow, qui réside aussi dans le Bed&Breakfast. Qui est-elle ? Et pourquoi Leeds se sent-il irrésistiblement attirer par elle alors qu’il aime profondément Layla ?

""Ce n'est pas parce qu'on en est capable qu'on en a le droit.""

Un récit parsemé de red flags

Je me suis lancée dans Layla les yeux fermés, sans lire le résumé. En sachant toutefois qu’il est glauque. Qu’il met profondément mal à l’aise. Après Too Late j’avais un peu peur, mais je l’avais dans ma PAL alors autant le lire. Et pourquoi pas une New Romance pour Halloween ? Il est parfait pour la saison, c’est le moins qu’on puisse dire en tous cas. Parce que c’est paranormal. Que dire de plus sans spoiler ? Un exercice difficile pour ce roman !

Ce n’est pas le paranormal le problème. C’est Leeds. Si je n’adhère pas au personnage principal, ça devient tout de suite compliqué pour moi. Et ici… eh bien ce monsieur ne mérite pas d’avoir de copine dans sa vie. Toxique au possible, red flag partout, sérieusement. Et le pire a probablement été qu’il se sent très « juste ». Rien n’est de sa faute. Il culpabilise un peu mais pas assez pour se remettre en question et arrêter ce qu’il fait.

Pour moi le plot twist, certes surprenant, ne rend pas ses actes pardonnables pour autant. Clairement, âmes féministes s’abstenir. Ainsi, ça ne l’a pas fait avec moi, d’autant plus que le roman est plein de longueurs de Leeds qui chouine. Ben oui… pauvre de lui ! Bref, ce n’était pas pour moi, tant pis.

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