Le secret de Mathilda

Résumé

Stockholm, 1931.
Mathilda vient de perdre sa mère lorsque qu’une imposante et élégante inconnue, Agneta Lejongård, se présente dans son école et lui annonce qu’elle est désormais sa tutrice. Et c’est rongée par la peur et le doute que Mathilda quitte Stockholm pour la majestueuse propriété de la comtesse, le domaine de Löwenhof. Projetée à tout juste 17 ans dans un monde intimidant de luxe et de raffinement, Mathilda ne se sent pas à sa place.
Et pourtant les deux femmes sont unies par une vieille promesse, un serment dont Agneta est la seule garante et qui fait toute la lumière sur les mystérieuses origines de sa pupille. Mais alors que Mathilda se met en quête de la vérité, une nouvelle guerre vient menacer l’Europe, bouleversant à jamais la vie des habitants de Löwenhof…

Ma note

Un deuxième tome qui me faisait peur...

Au printemps, je découvrais Le choix d’Agneta. Ce premier tome de la saga des Héritières de Löwenhof. C’était dans le cadre du Prix des lectrices Charleston, et ce premier tome a d’ailleurs remporté la palme de la sélection ! Je n’avais pas voté pour lui, un énorme cliché s’y cachant. Il m’avait gâchai un bon moment de lecture. Vous comprenez aisément pourquoi j’étais un peu craintive quant à cette suite narrative. Il faut le dire, d’ailleurs : c’est un vrai prolongement du tome un. Soyez sûres de les lire dans l’ordre pour en saisir toutes les subtilités ! 

"Il arrive qu'un château soit une cabane et inversement. C'est ce que mon père disait toujours. "

...alors qu'il est génial !

Eh bien, mes craintes étaient parfaitement infondées. J’ai adoré Le secret de Mathilda. Complètement scotchée à l’histoire, je me suis plongée dans la Suède des années précédents la Seconde Guerre Mondiale et en plein dedans. J’irai même jusqu’à dire…. que j’en aurai voulu plus ! Eh oui, pourtant ce beau roman poche ne fait pas moins de 662 pages ! Mais la fin m’a semblé presque précipitée, tant j’étais plongée dans le récit de la vie de Mathilda. 

Des personnages profondément humains

La jeune femme est d’ailleurs hyper intéressante. Elle n’est de loin pas parfaite, tout comme Agneta d’ailleurs. En contrepieds complet, elle a su changer ma vision de la comtesse de Löwenhof, apportant une nouvelle dimension à cette femme. Après tout, c’est une génération plus moderne. C’est certainement ce qui fait l’originalité de la saga, d’ailleurs, cette passation d’histoire entre les femmes de la famille. Il faut dire que personne n’est parfait dans ce récit, et cela démontre comme tout est une question de point de vue. J’ai eu un affect tout particulier pour Ingmar, soit dit en passant, dés le début. A présent, je me réjouis de rencontrer Solveig, dans le tome 3, disponible en grand format, déjà, et en poche dés le mois de janvier ! 

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