Good Luke

Résumé

La chance a toujours souri à Luke Winchester. Étudiant brillant, recruté chez les Campus Drivers de Miami, et membre vénéré de l’équipe de baseball universitaire, il vit un rêve éveillé. Mais, alors que le championnat annuel approche, son quotidien vire au cauchemar. Celui que tout le monde surnomme Lucky Luke est désormais poursuivi par une poisse légendaire. À se demander si on ne lui a pas jeté un sort. Pour se tirer d’affaire et sauver sa saison, il ne voit qu’une possibilité : Tory Garland.

Spécialiste de philtres et remèdes miracles en tout genre, les cartes de Tory ne lui avaient pas prédit l’engouement qu’elle provoque chez les étudiants depuis quelques mois. Il semblerait qu’elle porte chance à ceux qui l’entourent, en témoignent ses derniers petits amis, qui ont tous connu une ascension fulgurante.

S’il n’a jamais été superstitieux, Luke Winchester risque de vite le devenir. Il pourrait même apprendre qu’on ne se frotte pas à une sorcière des temps modernes sans conséquences inattendues.

Fake Boyfriend et opposés qui s’attirent

J’attendais Good Luke depuis sa sortie, notamment parce que le trope du fake boyfriend est l’un de mes préférés. Pourtant, il m’a fallu un petit moment pour vraiment entrer dans l’histoire. C’est à partir de l’opposition franche entre Tory et Luke sur la question de la spiritualité que le roman a décollé pour moi : j’ai ri, fort, et j’ai su que j’étais clairement Team Tory. Sa répartie est délicieusement piquante, et j’ai fini par craquer pour Luke , tout comme elle. Ce petit air de enemies to lovers ajoute du piment, et c’est exactement ce que j’espérais.

"Je préfère une existence entière de malchance avec toi qu’une vie de chance sans ta présence."

Un retour aux sources qui fait du bien

Ce cinquième tome regorge de clins d’œil à la trilogie originale de Campus Drivers, ma préférée de l’univers. J’ai particulièrement apprécié que les girlfriends des premiers tomes soient toujours bien présentes et mises en valeur. Ce genre de continuité dans une saga, quand elle est bien mené, donne une vraie cohérence à l’ensemble. Et puis, l’ambiance campus… toujours aussi efficace ! Mon amour pour Off-Campus ne ment pas : je suis définitivement cliente de ces romances universitaires légères mais pleines de caractère. Il va d’ailleurs falloir que je me penche sérieusement sur The Legacy. Et que je vous transfère mes avis aussi !

Une fin drôle et prometteuse ?

Le final de Good Luke est à l’image du roman : drôle et surprenant. Même s’il n’annonce pas de suite directe à proprement parler, C. S. Quill continue de faire vivre l’univers avec malice sur ses réseaux. Qui sait ? Peut-être qu’une nouvelle aventure pointera le bout de son nez. En tout cas, la saga ne semble pas s’essouffler – ou alors c’est juste moi qui ne lis plus assez de New Romance pour ressentir une redondance. En attendant, je prends chaque tome avec plaisir, et celui-ci ne fait pas exception.

Les autres romans de C. S. Quill

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