La Foire du Livre de Bruxelles 2023
Arrivée à Bruxelles
Nous sommes arrivés à Bruxelles le vendredi soir, après 5h de route depuis Strasbourg. Peut-être ne le saviez-vous pas, mais mon mari et moi y avons vécu 1 an, en plein Covid. Il me restait deux objectifs belges avant de pouvoir tirer un trait positif sur cette expérience. Le premier objectif a été atteint dés le vendredi soir, puisque nous avons mangé chez Lombric. Le monde est petit : mon meilleur ami du lycée a ouvert un restaurant-bar juste à côté de chez moi… 3 mois après mon retour en Alsace. C’est ce qui s’appelle se rater de peu. Alors, après avoir acheter du chocolat chez Neuhaus (la base), direction Altitude 100 où nous avons super bien mangé et bu pour un prix plus que raisonnable. 80€ à 2 pour des cocktails, des tapas, 2 desserts et les boisons qui vont avec, on ne peut rien dire !
Un samedi en mode course à pieds
Une fois le premier objectif atteint, place au deuxième : La foire du livre ! Elle se situe à Tour et Taxi, qui est assez simple d’accès. En même temps, nous sommes à la capitale. Je tiens à souligner un point très positif : le salon du livre est gratuit. Il n’y a pas de tickets, pas de prix d’entrée, libre à vous d’entrer et de sortir comme vous le souhaitez. Cela dit, je l’ai ressenti à l’organisation. Déjà, j’ai trouvé très étrange le nombre d’heures sur place de certaines autrices. Ainsi, Adeline Dieudonné était là 2h seulement, dans un espace exigu. Vous imaginez la file, que je n’ai même pas eu le courage de faire. D’autant plus qu’elle était là en même temps qu’Alia Cardyn, qui était ma priorité et qui avait également un créneau de 2h avec une file longue. Cet aspect du salon ne m’a vraiment pas plu. Je devais courir d’un stand à l’autre, et faire des sacrifices. Forcément, j’ai été déçue.
De chouettes autrices
Cela dit, avec des créneaux limités, cela augmente le nombre d’auteurs et d’autrices présent.e.s. J’ai donc pu voir Lucie Castel, à qui j’ai fait dédicacer Comment bien rater son mariage à Noël. Puis j’ai craquer pour Défaire le discours sexiste dans les médias de Rose Lamy. En réalité, j’attendais Isabelle Sorente, qui est arrivée ensuite. J’avais eu un coup de coeur pour Le complexe de la sorcière et pour La femme et l’oiseau. Enfin, l’après-midi, j’ai vu Alia Cardyn à qui j’ai fait dédicacer L’envol, Le choix d’une vie et Une vie à t’attendre que j’avais apporté. Et j’ai acheté Archie ainsi que Le monde que l’on porte.
Deux conférences au tableau
J’avas noté 3 conférences auxquelles je souhaitais assister, mais avec le monde sur place, impossible d’être à l’heure. Finalement, je n’en ai faite qu’une des 3 prévues. Vers 13h, les jambes en compote, en attendant de pouvoir faire une nouvelle file, nous nous sommes assis dans la conférence « Putain et autres noms glamour ». Cela dit, l’animatrice a beaucoup parlé du procédé de travail de l’autrice. Autant j’ai trouvé intéressant les explications de Nine Antico au sujet de sa BD, autant je n’ai pas trouvé les questions intéressantes au niveau du sujet. Par contre, en fin d’après-midi, j’ai vraiment adoré la conférence « Adapter un roman en BD, oui : mais comment ? ». Très riche, et précise en terme de questions, j’ai été captivée par la conversations entre ces 4 hommes.
Le clou du week-end
Le dimanche, j’y suis retournée afin de voir Clarisse Sabard. En effet, mon autrice française présente, il fallait que j’aille lui faire un petit coucou ! J’en ai profité pour acheter en avant-première Un air d’éternité, dont je vous ai déjà parlé depuis. Eh oui, la foire du livre de Bruxelles, c’était déjà il y a 15 jours ! Mais je suis heureuse de vous en avoir parlé ici, avec ses qualités et ses défauts. Ne me reste qu’à lire tous les livres achetés. Le prochain évènement auquel j’assisterai sera le Festival New Romance à Strasbourg, s’il n’y a pas de rendez-vous spontané entre. Et je me réjouis déjà !
Ca avait l’air super chouette ! 🙂
J’aime beaucoup assister à des conférences, c’est toujours intéressant. Même si j’ai pas toujours le temps.
C’était chouette oui ! Et pareil, je n’ai pas toujours le temps, alors que c’est finalement plus intéressant qu’une signature et un bonjour-au revoir, surtout dans les grands salons quand on n’a pas le temps d’avoir un échange quali avec l’auteur.ice.