Les carnets de Cerise 4 La deesse sans visage Joris Chamblain

Résumé

Cerise est une jeune fille qui vit seule avec sa mère. Elle rêve de devenir romancière et a même déjà commencé à écrire ses carnets ! Son sujet favori : les gens, et plus particulièrement les adultes. Elle adore les observer pour tenter de deviner quels secrets ils dissimulent au fond d’eux… L’heure des vacances a sonné ! La visite d’un étrange manoir annonce une nouvelle enquête : chaque pièce est une énigme, chaque objet est un indice. Mais il est des secrets plus anciens qui ne demandent qu’à être dévoilés. Qui est cette déesse sans visage qui trône dans une pièce secrète ? Où se cache la partie manquante de ce tableau ? Mais surtout, qui tire vraiment les ficelles de ce nouveau mystère ? Si Cerise ne résolvait pas l’énigme à temps, les conséquences pourraient être terribles…

Ma note

5/5

Une saga à offrir

Quel plaisir de retrouver Cerise en ce printemps. Comme tous les tomes, La déesse sans visage était à la médiathèque, mais cette saga s’arrache. A raison ! J’ai d’ailleurs offert le premier tome, Le Zoo Pétrifié, aux deux garçons de la famille à Noel ! Je trouvais que ça collait d’ailleurs pas trop mal à la période. Mais à présent, nous partons en vacances avec Cerise et sa maman à la plage ! Eh oui, ce sont les vacances du printemps. 

"On dit que quand on rentre de voyage, on n'est plus tout à fait la même personne que quand on est parti. On verra."

Les relations humaines au centre

Forcément, comme elles se retrouvent un temps à deux, ce tome se concentre sur la relation mère-fille. Afin de ne pas s’ennuyer, elles partent pour un escape game. Go pour une enquête commune ! Cette quête va les rapprocher. Elle est d’ailleurs super intrigante, j’étais aussi captivée qu’elles. Mais évidemment, Line et Erica ne sont jamais très loin, l’amitié garde sa place bien au chaud dans le récit.C’est si important à cet âge-là. Enfin, j’y ai même trouvé une pointe de féminisme !

Toujours dans l'attente de la suite

Mais ce que j’aime le plus dans les Carnets de Cerise, c’est l’amour des livres qui y est véhiculé. C’est assez indirecte cette fois-ci, mais pourtant, c’est là. Dans La déesse sans visage, on aborde également tout en naturel et en délicatesse l’amour de deux femmes. Et évidemment, la société qui gâche des vies en allant à l’encontre de l’amour. Et tout prend sens… La fin est très douce et émouvante, aussi. Je n’avais pas envie de quitter Cerise et sa maman, qui est très humaine et que j’avais envie de câliner. Vivement que je vous parle du tome 5 !

6 commentaires

  1. bonjour, comment vas tu? j’ai vu cette collection à la bib de ma ville mais je ne l’ai pas encore lue. passe un bon mardi et à bientôt!

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