Festival sans nom édition 2025

Un rendez-vous incontournable d’octobre

Le Festival Sans Nom est le seul événement littéraire auquel j’ai participé cette année, alors il méritait bien un article à part entière. Ce rendez-vous du polar à Mulhouse tombe toujours à pic pour moi. C’est pile au moment où je suis plongée dans mes lectures sombres et sanglantes d’octobre. Et comme toujours, c’est le dernier clin d’œil avant de tourner la page d’Halloween pour entrer dans la saison automnale.

Pour être honnête, j’y vais autant pour voir mes copines que pour rencontrer les auteurs. C’est un festival chaleureux, qui rassemble beaucoup de lectrices alsaciennes mais aussi des passionnées venues de plus loin. J’ai évidemment retrouvé Avril sur un fil et Cécilia Chérie Blossom, deux amies fidèles de ces week-ends littéraires, dont je ne peux que vous recommander les blogs.

Des découvertes et des retrouvailles

Comme chaque année, la première étape en arrivant est la table d’achats. On choisit nos futures lectures, nos dédicaces à venir, bref… on remplit nos sacs avant même de dire bonjour. Et puis, il y a toujours ces belles surprises : les auteurs qu’on ne pensait pas croiser et qu’on découvre par hasard. Cette année, c’est un roman de Jean-Luc Bizien qui s’est ajouté à ma pile, sur la recommandation d’une autre lectrice.

C’était aussi l’occasion de retrouver Cédric Sire, que je n’avais pas revu depuis Paris en 2017. Toujours aussi bavard, toujours aussi gentil ! J’étais ravie aussi de revoir Naëlle Charles, dont j’ai pu faire dédicacer le deuxième tome des aventures de Léopoldine Courtecuisse. Elle reviendra dans ma PAL hivernale, c’est certain. Et dans la même lignée, j’ai craqué pour un roman d’Olivier Norek : Les Guerriers de l’hiver, parfait pour la saison à venir.

Des échanges passionnants

Je dois aussi mentionner Déborah, amie et organisatrice du salon, qui anime toujours les conférences avec autant de passion. Celle sur le cosy crime, avec Naëlle Charles et Maxime Fontaine, était particulièrement intéressante. J’ai adoré les entendre confronter leurs visions du genre, tout en humour. L’ambiance dans la salle était joyeuse, vivante, et les échanges riches.

Vivement 2026

Encore une édition réussie, pleine de discussions, de livres à découvrir et de fous rires. Le Festival Sans Nom reste un incontournable de mon automne, et il ne fait aucun doute que je serai à nouveau de la partie en 2026 !

Les autres éditions

Les éditions du Festival sans nom où j’ai été : 

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