A la vie

Résumé

Avec Roger, l’Homme étoilé met une claque à la maladie sur les sons endiablés des tubes de Queen. Avec Mathilde, il apprend à parler le suédois, Edmond lui lance un véritable défi gastronomique et Nanie finit par l’adopter, en parfaite nouvelle grand-mère.
Dans ce roman graphique plein d’humanité, émouvant et drôle, l’Homme étoilé, l’infirmier aux plus de 1OO OOO abonnés sur Instagram, raconte la vie aux soins palliatifs avec douceur, pudeur, amour et humour.

Ma note

5/5

Toujours aussi émouvant

Lorsque j’ai lu Je serai là de L’homme étoilé, incroyablement émouvant, j’ai su que j’allais me plonger dans A la vie. J’ai immédiatement eu envie de découvrir son premier livre. Il est d’ailleurs accessible à tous, puisqu’il est disponible au format poche ! C’est un roman graphique plein de vie en soins palliatifs. Et là encore, on comprend très rapidement que Xavier, L’homme étoilé, apprend de chaque rencontre qu’il relate ici. Dés Roger le rockeur, mes larmes ont à nouveau coulées sur un sourire. 

"Roger m'a appris qu'accompagner, ce n'est pas devancer l'autre mais avancer à ses côtés, à son rythme."

Que d'émotions

Dans A la vie, on sent la musique à travers les pages. Comme une passerelle, comme instrument de communication au service des patients. Elle permet de libérer les larmes, les mots. Il nous démontre aussi à chaque page à quel point l’amour, la beauté et la douceur peuvent émouvoir. Ainsi, j’ai beaucoup pleuré. Peut-être même encore plus qu’en lisant Je serai là ! Il y a tant d’amour entre ces pages que j’aurai même pu vous en parler à la Saint-Valentin. 

Le partage, toujours le partage

Ce qui m’a beaucoup interpellé, ce sont les notions de transferts et contre-transferts. Le positif comme le négatif, en toute honnêteté. Des soignants comme Xavier, il en faut plein, et ils sont là ! Ils sont dans l’ombre, mais ils existent. Me voici à repenser à « Coucou », l’infirmière à domicile qui s’occupait de mon grand-père, surnommé ainsi parce qu’elle entrait toujours avec sa bonne humeur si caractéristique et sa jolie voix qui s’annonçait avec un « coucou ». En repensant au coeur incroyable de Gaëlle, de son prénom, j’ai appelé ma mamie. C’est aussi ça la magie des BD. Et c’est ce que j’ai envie de vous partager, chaque mardi.

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