Un Cinnamon Roll maison pour La librairie du cinnamon roll !

Résumé

Quand un mystérieux message secret surgit des pages d’un livre à la librairie Cinnamon Bun, Hazel est intriguée mais incapable de le déchiffrer. Alors que d’autres codes énigmatiques se glissent entre les pages, elle décide de suivre les indices… mais elle ne peut pas le faire seule. Noah, un pêcheur charismatique et toujours partant pour l’aventure, saute sur l’occasion. Une chasse au trésor ? Voilà qui promet d’être palpitant. Et encore mieux : c’est Hazel, la charmante libraire qui hante ses pensées depuis des mois, qui a besoin de son aide. Hazel n’avait pas prévu de tomber sous le charme, mais alors que leur quête les entraîne à travers Dream Harbor, l’alchimie entre eux devient aussi irrésistible que les brioches à la cannelle tout juste sorties du four de la librairie…

Un début de lecture moins fluide avec La librairie du Cinnamon Roll

La librairie du Cinnamon Roll m’a moins touchée que le premier tome de Dream Harbor et j’ai mis un moment à comprendre pourquoi. J’ai d’abord cru que l’audio en était la cause. La narratrice fait un bon travail, mais la voix qu’elle attribue à Noah et à Annie m’a déstabilisée. On dirait des vieux fumeurs de 80 piges !  Le problème venait toutefois d’ailleurs. Hazel est un personnage que j’ai eu du mal à apprécier. Elle adopte une attitude très moralisatrice. Sa vision rigide me mettait mal à l’aise et je sentais qu’elle cherchait constamment à éviter le jugement des autres en jugeant tout elle-même. Par moments, elle devenait même méprisante. Cet aspect a rendu son évolution, tardive, plus difficile à apprécier.

"Une odeur de cannelle, de beurre et de sucre vanillé embaumait dans toute la librairie. C’était dimanche, le jour des brioches roulées à la cannelle."

Un duo qui peine à trouver son équilibre

La narration déséquilibrée m’a aussi freinée. On passe beaucoup de temps dans la tête de Hazel, mais Noah reste trop lisse. Ses scènes manquent vraiment de profondeur. Il a un projet sympa, mais sa motivation principale semble être Hazel. Jeanie et Logan fonctionnaient mieux car leur relation se construisait sur une base plus équilibrée. Je découvrais aussi Dream Harbor avec eux. Ici, l’ancrage dans la ville est moins présent. Ce qui donne une romance plus faible, sans ce côté communautaire qui rendait le tome précédent charmant.

Une lecture estivale qui garde malgré tout son charme

L’intrigue se déroule en été, ce qui m’a un peu sortie du mood saisonnier. Pourtant, j’ai choisi de lire la saga maintenant parce que les livres sont magnifiques mais surtout parce que le jaspage suggérait l’automne… Ils font quand même de très jolis cadeaux de Noël. L’objet-livre est vraiment soigné. Ce plaisir-là compense le décalage avec la saison et justifie que je le mette dans la catégorie Noël. Et je savais déjà que j’enchaînerais avec La ferme des sapins de Noël, ce qui me remettra dans l’ambiance de la saison quand même. Malgré mon avis mitigé, La librairie du Cinnamon Roll reste une lecture agréable et cohérente dans la lignée de la série.

La saga Dram Harbor

Mes avis sur les tomes de la saga

  • Le pumpkin spice café – tome 1
  • La librairie du cinnamon roll – tome 2
  • La ferme des sapins de Noël – tome 3 – dans ma PAL
  • La maison des pancakes aux fraises – tome 4
  • Tomes 5 & 6 pas encore en VF

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